Je m’habille
J’achète les vêtements dont j’ai vraiment besoin. J’achète en seconde-main, je fais du troc ou je loue auprès de magasins spécialisés.
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Je limite la surface agricole nécessaire à la fabrication du textile et donc les risques de destruction des habitats. De cette façon, je contribue à préserver les chimpanzés des forêts tropicales.
Je privilégie des vêtements écologiques, durables, bios, labellisés.
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Je limite la pollution des écosystèmes, notamment agricoles, par les produits chimiques. De cette façon, je contribue à préserver la faune des écosystèmes agricoles à travers le monde.
J’achète des vêtements fabriqués localement (en Belgique/Europe).
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Je limite le transport de marchandises, souvent par bateau, et donc la pollution sonore et aquatique du milieu marin. De cette façon, je contribue à préserver les bélugas et les dauphins.
Je privilégie des matières telles que le lin ou le chanvre plutôt que le coton.
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Je limite la quantité d’eau nécessaire à la fabrication de mes vêtements et limite ainsi mon impact sur les habitats naturels dépendants de cette eau. De cette façon, je contribue à préserver les vastes steppes de l’Ouzbékistan.
Je porte mes vêtements un maximum avant de les laver et j’évite les matières synthétiques avec des paillettes ou motifs collés.
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Je limite la pollution des milieux aquatiques par les fibres textiles synthétiques qui filent dans l’eau à cause du lavage. De cette façon, je contribue à préserver les poissons d’eau douce.
Je choisis des produits écologiques pour laver mes vêtements tels que les produits labellisés EU Ecolabel.
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Je limite la pollution des rivières, des mers et des océans avec des substances polluantes telles que les teintures. De cette façon, je contribue à préserver les fonds marins et la santé des saumons.
Je convaincs les autres de suivre mon exemple.
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Je trouve tout plein d’autres conseils malins sur www.1001pourlabiodiversite.be.