
Je jardine, je cultive
Dans mon jardin ou ma maison, je privilégie les espèces végétales indigènes.
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Je limite ainsi la propagation d’espèces invasives. De cette façon, je contribue à préserver les espèces locales comme nos lombrics.
J’aménage les lieux pour accueillir la faune locale : je prévois des zones de friche et je plante des fleurs à butiner pour les abeilles, je laisse des branches mortes, je privilégie les haies naturelles plutôt que les clôtures, j’élague en dehors des périodes de nidification, etc.
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J’offre tout ce qui est nécessaire à la vie des petits animaux (oiseaux, petits rongeurs,…). De cette façon, je contribue à préserver des espèces menacées comme le hérisson.
J’utilise des produits naturels pour chasser les indésirables (vinaigre par exemple) ou faire pousser mes fleurs locales (compost ou autre). Si j’achète des plantes en pépinière, je m’assure qu’elles n’ont pas été traitées avec des produits chimiques.
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Je limite la pollution des écosystèmes par les produits chimiques. De cette façon, je contribue à préserver les pollinisateurs et les oiseaux de nos campagnes.
J’utilise un compost pour mes déchets organiques.
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Je limite la pollution du sol et de l’air liée à la mise en décharge ou à l’incinération de mes déchets. De cette façon, je contribue à préserver les précieux insectes de nos campagnes.
Je convaincs les autres de suivre mon exemple.
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Je trouve tout plein d’autres conseils malins sur www.1001pourlabiodiversite.be.